Titre 4Télékinésie

TÉLÉPORTATION

Séquence Numérique 

Du 22 sept au 17 octobre 2025

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    Power director                                                                                               Animation Stop motion

 

Qu'est-ce que les élèves apprennent ?

Apprentissages :

• Utiliser la technique d’animation stop-motion pour développer une réflexion artistique.

• Scénariser une courte séquence.

Questionnements :

• L’œuvre, l’espace, l’auteur, le spectateur :

• La relation du corps à la production artistique.

• Les métissages entre arts plastiques et technologies numériques.

 

À travers quelle(s) pratique(s) ?

• Prérequis : séquence flipbook, initiation à l’animation stop-motion.

• Mise en scène : des objets et des corps

• Photo / vidéo : cadrage, point de vue, effet spécial

• Montage : timing, boucle, son/image, bruitage, musique, dialogues.

 

Quelles verbalisations ?

Conseils et consignes :

• Quel pouvoir magique pour quel groupe ?

• Rappel des règles du travail en groupe : tout le monde doit être occupé, il faut se répartir les tâche (acteur/caméra (wo)man/animateur,

 

Différence entre animation stop-motion et vidéo :

accélérer, décélérer ou prendre une rafale d’image ne suffit pas. Quelque chose de physiquement impossible à voir grâce à la vidéo doit être montrée grâce à l’animation.

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Recourir à des outils numériques de captation et de réalisation à des fins de création artistique.

- Nombre d’images : minimum 250 images.

- Mise au point : mes photos sont nettes.

- Cadrage / point de vue : j’ai donné à avoir l’action qui se déroule

- Stabilité / mouvement : les images se succèdent de façon cohérente, l’animation ne bouge pas dans tous les sens. 7/20

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- J’ai été efficace dans le montage de mes images : ajout, suppression, copie, boucle, etc.

- J’ai ajouté du son : bruitage, musique et/ou dialogues.

Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.

Mise en scène et en œuvre :

- L’animation stop motion donne l’illusion d’un pouvoir magique

- J’ai aidé le spectateur à comprendre le pouvoir magique grâce à un jeu d’acteur cohérent 7/20

Mettre en œuvre un projet :

Faire preuve d’autonomie, d’initiative, de responsabilité, d’engagement et d’esprit critique dans la conduite d’un projet artistique.

Achèvement, investissement et travail en groupe :

- Qualité et quantité de travail.

- Exploitation du temps de travail

- Répartition des tâches

- Le travail est achevé et archivé 6/20

 

Séance 1 :

Travail en groupe (3 ou 4 élèves), tablettes, application : animation en volume.

STOP MOTION STUDIO

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La séquence commence par un temps de verbalisation un peu plus long qu’à l’habitude mais qui laissera une bonne moitié de séance aux élèves pour la pratique :

Rappel des séquences/séances précédentes et des acquis : Flipbook – initiation à animation stop-motion, décomposition/recomposition du mouvement, prise en main des outils techniques pour le montage.

 

Consigne : « Vous allez maintenant vous servir de l’animation stop-motion studio pour faire croire que vous possédez un pouvoir magique. »

▪ Quel pouvoir magique ? Échange sur les différents pouvoirs :

 

Conseils :

• Le jeu d’acteur : si je veux me téléporter par exemple, il ne suffira pas de prendre une photo à un endroit et une autre à un autre, il faudra qu’un geste, un signal de l’acteur fasse comprendre au spectateur que quelque chose se passe.

 

• L’utilisation de de l’animation stop-motion studio: nous ne revenons pas sur l’aspect technique mais sur son utilisation à des fins artistiques.

• L’intérêt de l’animation stop-motion, c’est tout ce qu’on ne voit pas, ce qui a été déplacé entre les prises de vue… Il ne suffira pas ici de faire une rafale de photos qui donnerait une vidéo décélérée ou accélérée. Mais de donner à voir quelque chose d’impossible à capter grâce à une vidéo normale.

• Répartition des tâches et travail en groupe : Chaque élève doit participer au travail. Vous formerez des groupes de 3 minimum et 3 rôles sont possible (acteur, camera (wo)man ou animateur).

• Pratique autonome, durant le temps de pratique le professeur se concentre sur deux choses :

• Canaliser l’enthousiasme des élèves qui peuvent/doivent travailler en groupe, en étant mobile, à l’intérieur/extérieur de la classe.

• Repérer les groupes qui peinent à se mettre au travail ou s’engage sur la piste du « ».

• Petit débriefing de fin séance, projection des travaux les plus avancés.

 

Séance 2 :

Travail en groupe (3 ou 4 élèves), tablettes, application : animation en volume.

• Rappel de la séance précédente :

Les élèves prennent la parole pour expliquer le tour de magie qu’ils mettent en scène et la manière dont l’animation stop-motion intervient.

On recadre, réoriente, trouve des solutions pour aider les uns et les autres dans leur travail.

Projection d’une ou deux références, pour donner des idées et pour faire comprendre que l’animation stop motion demande beaucoup d’images et de travail

 

Conclusion : il nous faut beaucoup d’images ; malgré l’autonomie et les libertés laissés aux élèves, le travail doit se faire dans une ambiance agréable.

• Pratique autonome :

Les différents groupes travaillent en autonomie.

Le professeur passe les accompagner, donner des conseils si besoin.

Le travail en groupe commence à être évalué.

• Petit débriefing de fin de séance :

Comment et où enregistrer son travail : (sur le cloud si vous voulez que votre travail soit projeté en fin de séance).

Projection de certains travaux.

Projection d’une référence selon le temps et les besoins.

 

Mise en œuvre :

Séance 3 : travail en groupe (3 ou 4 élèves), tablettes, application : animation en volume.

• Verbalisation 5 minutes montre en main :

Rappel de la séance précédente

Rappel des objectifs,

Pratique autonome : 50 minutes.

Les élèves doivent avoir le temps de réaliser une grosse partie du travail lors de cette séance.

 

Fin de séance :

Séance 4 : travail en groupe (3 ou 4 élèves), tablettes, applications : Animation en Volume et Power director.

• Rappel des séances précédente / Projection de l’animation de

Le son apporte une dimension supplémentaire à l’animation, les bruitages aident à la compréhension de l’action

 

Consigne : « vous allez mettre du son sur votre animation »

Musique / Bruitages / voix / dialogues…

 

Conseils :

• Comment enregistrer des voix ou bruitages : utiliser un micro, dans un endroit calme

• Comment utiliser Power director

• Ceux qui doivent terminer les prises de vue pour l’animation le font, les autres sonorisent leur animation

• Pratique autonome : 45 minutes

• Accompagnement des groupes qui sonorisent l’animation, conseils techniques et pratiques

• Évaluation du travail en groupe

• Débriefing de fin de séance :

• Projection des animations sonorisées

• Une séance supplémentaire est possible pour finir les travaux et projeter l’ensemble des animations.